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Universel public / Description
« Dernier message par coadmin le lundi 31 juillet 2023, 10:44:41 am »
Lorsqu'on souhaite exposer un sujet qui vous est inconnu ou incomplet, vous pouvez l'écrire dans cette section afin que vous puissiez être redirigé
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CrimQ Section / Le codeQµ gammique
« Dernier message par coadmin le lundi 01 novembre 2021, 12:40:20 pm »
Comment faire la transition numérique de mon piano ?
On ne parle pas de photographie ni d'un piano virtuel, on parle de musique aux notes naturelles.

On peut commencer doucement, en explicant que la musique c'est aussi les gammes musicales.
Qui peuvent surgir de n'importe où, les gammes qu'on se torture à aimer comme le premier son, beau et jamais entendu. Et même si les gammes phantômes extistent et ont un voile transparent, laissant imaginer le visible de l'invisible.

Quantum Gam explications non-exhaustives
https://www.cabviva.fr/quantum-gam

Créer l'algorithme d'une gamme est difficilement faisable. Mais à cause d'une réalité productive en signatures modales diatoniques. Écrire à la main un livre entier dans lequel on pourrait trouver toutes les bonnes choses qui sont ici-même. Il n'est pas question de réécrire toutes les gammes une par une, mais de produire le moyen de calculer ce en quoi elles se ressemblent, soit par leurs tonalités par lesquelles les intervalles prennent tout leurs sens. Ceci afin de ne pas s'emmêler lorsque les tonalités changent alors que les intervalles sont identiques, car il s'agit de transpositions.

Au début de ce calcul informatique la gamme a été traduite de plusieurs manières :

  • Le modèle binaire: Quand C, D, E, F, G, A, B ou CoDoEFoGoAoBC, pour enfin donner 1010110101011. Cette façon de voir la gamme permet d'outrepasser les nuances diatoniques relatives aux degrés modaux, ainsi l'opération n'a pas besoin d'effectuer ce tri.
  • Le modèle conteneur: Ce type de traduction agit sur l'intervalle, ainsi CoDoEFoGoAoBC donne 1, 1, 0, 1, 1, 1, 0. http://cabviva.com/programs/progamv6encore.py.html C'est ce modèle qui a été utilisé pour écrire le 1er programme, qui traite aussi bien des fondamentales que des chromatiques. Il y a aussi la page web qui visionne le détails de cette application. https://www.cabviva.com/gampro1a.html
  • Le modèle diatonique: Le problème avec les gammes c'est qu'elles produisent sept degrés modaux à chaque fois, créant un système diatonique hors norme, sur lequel le choix du degré tonique est rendu difficile. Permettant néanmoins une issue dans les choix des noms des gammes. 1ères définitions vues sur l'image gammes noms courts et longs PNG. Si la première modélisation rapporte les noms communs les plus utilisés comme par exemple C mélodique mineure (b3), que lorsqu'elle s'accompagne d'une harmonique mineure soit C mélodique harmonique mineures (b3, b6), ainsi la gamme de Do b36 est une structure diatonique formant sept degrés modaux "de même tonalité".
    Mais un autre argument vient détourner le sens du motif du nommage commun, par un nommage mécanique plus proche des notes et de leurs altérations..
     
  • Le modèle unaire: Contrairement au modèle binaire ce modèle distingue les différents niveaux diatoniques, la gamme naturelle binaire 1010110101011. Ce qui par traduction devient 1o2o34o5o6o78 de CoDoEFoGoAoBC.


Espace de programmation Python
L'application que je vous offre (https://www.cabviva.com/gampro1a.html) produit des gammes, ces gammes ont été évaluées par une approche personnelle visant à rassembler les modes toniques les plus adaptés. Ce qui peut changer sont les priorités fondamentales qui définissent les modes toniques et premiers degrés diatoniques.
- Pourquoi ce revirement de présentation :
_    1. Les 1ères estimations se sont faites par rapport à un travail d'écriture de chacune des 66 diatoniques
_    2. Actuellement les gammes se rapportent à un algorithme développé sur plusieurs modules Python

Il va s'en dire que la puissance de calcul à l'aide un script donne une certaine véracité à cet acte travaillé, puisqu'autrement que précédemment les gammes musicales sont apparues grâce à un tétracorde unique. Ce tétra minimal ressemble à quatre notes conjointes, ce qui est vraiment le plus petit cluster de développement pour en arriver à traiter la définition des gammes à plusieurs niveaux.

Un cluster-Tous les tétracordes-Couplages tétracordiques-Masses diatoniques-Approche légère-Nomminations modales-Triage fondamental
Oui vous avez bien compris, c'est à partir d'un cluster tétra que les gammes heptatoniques se sont créées. Et c'est cet espace de travail que je vous donne, on appelle ça de l'open source.
| Tout un bénéfice de temps de programmation déjà réalisé |

Lien hypertexte d'accès à l'application : https://github.com/Toumic/GlobalApplis
Lien pour décoder le code qui construit les tétracordes un par un : https://www.cabviva.com/programs/construcTetra.pdf
Lien d'une application basique du calcul des gammes heptatoniques : https://github.com/Toumic/modalDevel/blob/master/modalDevel.py

 
GlobalApplis évolué pour produire les gammes commatiques en plusieurs successions algorithmiques, il y a un module qui s'applique à ceci, qui est GlobGamChrom détaillé dans sa section de la page README.md, ainsi qu'en lien.html CommentGlobGamChromII.py.html https://www.cabviva.com/CommentGlobGamChromII.py.html

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Les nombres premiers communs / Les nombres harmoniques
« Dernier message par coadmin le lundi 27 septembre 2021, 01:44:26 pm »
Le temps présent n'a pas changé, et il y a toujours des premiers phénomènes.

On sait que la période d'apprentissage nécessite un appui réel, et qu'à moins d'avoir un computeur dans la tête, il est plus sage d'utiliser l'écriture comme bureau d'analyse. Commencer par écrire un bloc de forme contextuelle, venant décrire le sujet à l'aide d'une image. Il est notable que le texte peut décrire une image, dans l'épisode préhistorique du premier nombre alignant des clones différemment nommés. Comme cette époque disait que l'uniformité unitaire produite par l'unité incrémentative, et que cette uniformité manquait de point de repère. À ce niveau il n'y a que le tempérament pour relever le défi de trouver des nombreux points de repères.

Citer
Un tempérament nul équivaut à la réalité d'un intervalle égale à l'unité.

Imaginer que le tempérament est comparable à un compas c'est comprendre la notion de l'intervalle.

Il y a plus simple comme comparaison quand on réfléchit sur la démarche des pas réguliers, à chaque pas se pose un pointeur qui a l'intervalle égal entre les points. Le paramètre de l'intervalle a deux choix, soit il est donné par une valeur chargée de trouver la distance relative. Soit l'intervalle a la valeur d'une unité-objet, par exemple pour définir une suite de tierces dans CDEFGAB donne CEGB. Avec les nombres qui n'ont pas les mêmes unités de mesure, et à cause de leurs associativités le tempérament des tierces qui équivaut à 3, on utilise l'addition et la multiplication.


1    3    6    9    12... | Intervalle = a = 3 | (b = b + a) * nombre de pas | b = a * nombre de pas


Les nombres premiers sont parfaitement situés.

Sur une longueur de 15 nombres allant de 1 à 30, un pas de trois donne (1, 3, 6, 9, 12, 15, 18, 21, 24, 27, 30) et un pas de six donne (1, 6, 12, 18, 24, 30). On voit que le pas de six parcoure la longueur plus rapidement car il rencontre moins de nombres, contrairement au pas de trois qui s'attache à plus de nombres. Ces deux pas ont des particularités respectives, le pas de trois n'a que deux nombres premiers et le pas de six n'a qu'un seul nombre premier.

Rappel des petits nombres premiers :

  • Les petits nombres premiers dans la base six : 1, 2, 3, 5
Citer
Les nombres premiers suivent deux lignes en base six.
En l'effet du commencement à un et à cinq, en ajoutant six à ces petits premiers étant un et cinq.

Où : [1 + (6 * nombre de fois)] & [5 + (6 * nombre de fois)]. Ou bien, [1, 7, 13, 19, 25] & [5, 11, 17, 23, 29].
Produit plusieurs nombres premiers, pour un (1, 7, 13, 19) et pour cinq (5, 11, 17, 23, 29)

C'est un a un que les nombres s'ordonnent en s'incrémentant de un à chaque fois
Comme d'habitude chaque nombre va se poser sur sa ligne et sa colonne :

  • Il y a 6 nombres ou colonnes par lignes
    • Nombre ou colonne ?

Si l'image jointe ne vous convainc pas : PagesTransfertsCabviva_ClasseNPHpng.png. Sûrement parce qu'il faut calculer un peu plus pour mieux comprendre les tempéraments numéraux, ceux qu'une fois multipliés produisent une infinité de nombres communs relatifs.
La façon de calculer chaque colonne dépend de la division par six, et bien que le quotient soit un nombre décimal à virgule, il présente néanmoins un intérêt du fait que sa partie décimale porte la même information pour une autre infinité de nombres. Si bien que la partie décimale change en même temps que change le reste de la division, mais le reste de la division a quelque chose que la partie décimal n'a pas. C'est le titre de la colonne qui est un chiffre de 1 à 6, le chiffre six n'apparait jamais dans le reste de la division par six  ;) .
Alors le reste zéro devient six

En détaillant :
Sur la 1ère ligne (1, 2, 3, 4, 5, 6). Sur la 2ème ligne (7, 8, 9, 10, 11, 12). Et etc...
Généralement lorsqu'on veut chercher l'emplacement d'un nombre précis dans cette table imaginaire, il faudra alors le diviser par six pour lui trouver sa hauteur de ligne.
Exemple le nombre 3758 se trouve à la 626ème ligne plus deux colonnes,
car 626 * 6 = 3756 et que 3758 - 3756 = 2. D'où et d'ailleurs, le typage 3758 % 6 = 2.

_ L'image agenph_7_3_mini présente les premiers emplacements des nombres aux types de restes (2, 3, 4, 6):
_ 1) Ces quatre tempéraments sont élémentaires et jamais ces séries ne mettront un de leurs multiples dans les types (1, 5).

_ 2) Ainsi parmi les nombres compris chez les "élémentaires", il y a deux nombres premiers (2, 3).  2*2=4 et 3*2=6

Retour des nombres premiers
On sait que la majorité des nombres premiers trouvent leurs sources dans les types (1, 5). Idem pour leur aspect multiplicateur qui voit l'intervalle des tempéraments s'agrandir selon le premier multiple, laissant aussi deux genres de visites celles qui vont lister et les ponctuelles. On visite les nombres premiers selon leurs tempéraments, et ceci que la visite soit ponctuelle ou pas. Ces visites occasionnent des algorithmes différents, pour un gain de codage et de temps.
.    Réaliser une liste consiste à créer une table de nombres premiers, cette table est une référence.
.    On trouve ponctuellement la valeur d'un nombre en testant les possibles multiples communs en amont.
.        Pour un nombre de grand format l'algorithme peut avoir :
.        .    Un codage de liste + Un codage ponctuel + Un codage pointeur
.    Les pointeurs sont des points de lectures de nombres situés dans un intervalle donné.
.        Occasionnant plusieurs lectures dans un seul cycle de boucle séquentielle.

Regard sur la visite ponctuelle

Quand on veut connaitre le typage du nombre :
1: Il faut un nombre :
Puisqu'on cherche un nombre premier.
2: Le reste division six du nombre :
S'il est égal à (2, 3, 4, 6) ce nombre n'est pas 1er.
3: La racine carrée du nombre puissance ½ ou 0.5 :
Un nombre de type 1 ou 5 peut avoir cette particularité.
4: Le quotient de la division par sept :
Si ce nombre est déjà commun d'un autre nombre multiplié par 7 d'un même type.
5: Un diviseur cinq de base :
Cette division détecte le commun d'un autre nombre multiplié d'un autre type.

La division du nombre par le diviseur 5
N'intervient que si les étapes précédentes sont fausses, cette division permet de déceler le probable quotient étant un nombre entier situé dans la colonne opposée à celle du nombre possible 1er. En effet, si un nombre (±)1er est multiplié par cinq, le commun produit se situera en-tête et équivaudra au nombre sur lequel se porte la division par cinq.

#  Copyright (c) 2022. Programmeur Open source:
#  Spécial Quantic et Music.

num = 2305649  # 25362139
tip = num % 6
car = int(num ** 0.5)
di7 = num / 7
di5 = 5
print(' NUM:', num, ' Type:', tip, ' CAR:', car)
prime = [2, 3, 4, 6]
neo = True
if tip in (2, 3, 4, 0):
    for p1er in prime:
        if num % p1er == 0:
            neo = False
            print('Num commun base: ', p1er)
if car * car == num:
    neo = False
    print('Num carré: ', car)
if di7.is_integer():
    neo = False
    print('Num commun sept: ', int(di7), 'Type', di7 % 6)

if neo:
    qi = 0
    for fw in range(5, car, 6):
        qui = num / fw
        if qui.is_integer():
            qi = num / qui
            tic = qui % 6
            print(' QUI:', qui, ' Type :', tic, ' QI:', qi)
            # break
    if not qi:
        print('Num premier: ', num)

https://www.cabviva.fr/agenph-7






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Les nombres premiers communs / Nombres premiers préhistoriques
« Dernier message par coadmin le dimanche 26 septembre 2021, 11:49:23 am »
Il est une histoire humaine hors de cette causette qui n'a aucun lien avec les écritures préhistoriennes, du moins tant qu'on en reste à une vision purement physique de notre passé lointain. Avec des vagues souvenirs, l'homme préhistorique a aussi un comportement, je ne parle pas du côté animal que nous connaissons mais de son sentiment familièrement convivial. Les faits préhistoriques sont aussi durs que la pierre de fossile, et les sourires des visages préhistoiriques ne sont pas osseux. Pourrait-on croire que les premiers éléments de la vie puissent confondre ceux des nombres, et ainsi penser que de toute chose puisse émerger des multiples communs.
Moralité : Pourriez-vous voir en ces crânes un sentiment quelconque ?


Un nombre sous-forme d'un groupe de chiffre(s),il est mathématiquement opérationnel et peut changer de type :
Type(Nombre entier = 5). Nombre entier divisé par 2 = 2,5. Type(Nombre décimal = 2,5).

Finalement les nombres entiers séquencent un ordre de groupement d'entiers réunissant deux sections ;
La section des nombres entiers premiers qui multipliés produisent la section des nombres communs.

Citer
L'Interlude : Des opérations génératrices des nombres atypiques. Très intéressants, à la vue d'une première propriété "d'ordre premier".

La surface dessinée par la croissance des nombres, fait le sujet consécutif d'une simple unité. La 1ère unité de chiffre c'est "1" (un) :D hein ?
Ce premier chiffre fait le répété d'une seule unité changeant de nom à chaque pas. Exemple : [1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,,, ].

La vue unitaire de la lignée des nombres fait l'imagination du tempérament de l'unité (valant "un" pour un pas de "un").  À partir d'un tempérament minimal, on peut déceler un écart entre deux unités conjointes, et que cet écart est égal a la même valeur que l'unité. Soit d'une 1ère avancée ayant pour valeur le rayon de l'unité, en reproduisant la même avancée qu'un rayon, on parvient à se positionner sur l'axe de l'unité consécutive.
On pourrait cacher la simplicité du système tempéré :

un tempérament minimal = une unité | un tempérament seconde = deux unités |||
Ne nous éloignons pas des nombres premiers car "deux" (2) est le nombre premier pair, juste après le premier des nombres entiers "un" (1) & "un" a pour parent le nombre "zéro" (0). L'unité .1, faisant référence au plus petit élément réellement entier, au comportement commun des unités. Faisant aussi l'affaire du tempérament, qui profite des associations pour faire le pas d'un nouveau tempérament. Alors, tout comme la séquence unitaire, il va développer la séquence du tempérament, tout ceci ce n'est que pour lire les occurences données par l'uniformité unitaire.
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Les éléments quantiques libres / Élément quantic libre
« Dernier message par coadmin le mercredi 08 septembre 2021, 12:59:30 pm »
La vérité est une liberté de l'esprit

Il y a une réalité qui illumine paisiblement un espace à visibilité pensive.
L'esprit humain est riche et intelligent, il est nourrissant en merveilleux espoirs.

Parfois l'esprit humain n'a pas besoin de parler avec un être d'un autre ailleurs.
Disons que les uns ressemblent aux autres  :)
 
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CrimQ Section / L'élément tétracordique
« Dernier message par coadmin le mardi 07 septembre 2021, 11:53:11 am »
Le couple de tétracorde fait la gamme

La gamme naturelle se dessine ainsi : CoDoEFoGoAoBC.
Elle assemble deux tétras ainsi : CoDoEF_o_GoAoBC.
Le tétracorde le plus petit "CDEF" est aussi un cluster.

Le systéme tétracordique ou squelette gammique

Analytiquement, une petite quantité de tétracordes fondent les 66 gammes fondamentales.
Le milieu tétra est spécial car son décor est puissant, comparable à un voyage réellement inconnu.
Sauf que sur ces lignes, tout son sens logique est lié à la biomasse des gammes.

Un voyage mental que je recommande !

Qu'exprime le tétracorde ? Le fait que le tétra est bipolaire, selon que son emplacement se situe avec CDEF ou GABC, fait que le choix nous indique le 1er tétra CDEF . Il a les mêmes qualités que 102034|CoDoEF, et donne une juste mesure. Certes nous pouvons entretenir des statistiques donnant le taux de fréquentation de l'objet unique parmi les gammes fondamentales. Je vous présente la forme tétracordique utilisée.
CoDoEF ou 102034 ou 101011 ou codoef
101011*101011
Citer
101011*101011
  • Tétra binaire : En mode simple 101101 est le 1er tétra de la gamme mélodique !
    Le modèle binaire est multiple en utilités, il traverse la tonalité en étant transparent.
    Son visuel basique fait une simple opération, faisant l'objet de nombreuses interprétations.
  • Tétra bipolaire : Soit que 101101 est situé au début ((CoD-EoF)b3). Ou à la fin ((GoA-BoC)b7), un sensible demeuré.
    Les gammes ont une expression bien particulière, et deux tétracordes cloniques.
    Un cluster tétra est un objet formé par quatre unités, les unités s'adaptent diatoniquement.
  • Tétra clustérien : La notion clustérienne fait l'objet en développement du cluster minimal
    Par l'interprétation gammologique du jeu de boules, allant en incrémentation ordonnée.
    L'impression d'un ensemble clustérien gradué, faisant évoluer toute une chronologique gammique.
  • ...
Le sujet gammique est intéressant, car il s'agit d'un espace dans lequel une gamme de sept notes y sont actives. Les notes sont donc limitées par elles-mêmes et par les intervalles restants. Une octave a 12 ½ tons, une gamme a 7 ½ tons et le restant des 5 ½ tons d'intervalles.
1010110101011
1020340506078
CoDoEFoGoAoBC
Quelles sont les limitations des tétras ?En position les deux tétras ont chacun un élément fixe et ici ça sera deux Do(C), l'un à l'emplacement tonique et l'autre à l'octave.
En étant un élément de couple, le tétra peut se comprimer ainsi CDEFoooooGABC et se développer jusqu'ici CDEoooooFGABC. Comme dit ci-dessus le tétracorde a la même forme dans l'espace inférieur que le supérieur, ce qui signifie que le fait de développer un tétra vous amène à la gamme entière.

Les notes ont besoin des altérations pour moduler leur état, disons alors CbDbbEbbFooooo##G#ABC. Et que le sujet inférieur soit comme ça CbDbbEooooo###F##G#ABC, et au contraire comme ci CbDbbEbbFbbbGooooo#ABC. Maintenant les formes clustériennes 1).111000001. 2).100000111. Il est vrai que les signes bémols et dièses une fois cumulés sont difficiles à lire, ce sujet n'en a pas besoin en général.



Chaque tétracorde est unique et comme on peut le voir sur l'image "portetracorde.jpg", il est développable diatoniquement. Le fait, que ces tétras soient utiles aux gammes heptatoniques, il va de soi que sur 462 modes il y a en tout 924 tétras-utilisations. Alors nous comprenons que les tétracordes ont de nombreux clones, et que ces clones touchent des gammes aux qualités différentes, et qu'ainsi un tétra du début peut être semblable à un tétra final d'un autre ailleurs.

Ce n'est pas ces quelques mots qui vont vous faire découvrir toutes ces activités, c'est la raison pour laquelle je vous mets en copie un lien vers mon site qui fera votre découverte.
https://www.cabviva.fr/magrat-2
Le lien mène vers la page 2 du chapitre [magrat], sachez qu'il n'est pas le seul chapitre à décrire les évènements liés aux tétras car il y en a de nombreux autres. Si tous les tétras ont commencé par créer des liens rythmiques, leurs familiarités ont créée beaucoup de situations.
  • Lien entre les gammes
  • Le déploiement diatonique tétra
  • Une hiérarchie tétra
  • Un contexte évolutif tétra
  • La formation de plusieurs ensembles tétra
  • Un groupe universel tétra

Comment prouver la réalité musicale de cet élément dit : tétracorde ou tétra.
https://www.cabviva.com/programs/construcTetra.pdf



En fichier joint
Portetracorde : Image réunissant les tétras utiles au développement des gammes, ils sont aussi rangés de plusieurs façons.
magrat_2_4.png : Les tétras relatifs aux gammes s'agglutinent et forment un ensemble entier fragmenté.

,
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CrimQ Section / Les accords harmoniques
« Dernier message par coadmin le mardi 07 septembre 2021, 11:11:00 am »
L'harmonie dégagée par l'accord

Bien qu'il y ait plusieurs techniques pour les composer, ici une petite partie est décrite.
Tout le monde connait la fonction de l'accord dans la musique orchestrale.

On parle d'accord à trois, quatre et plus d'éléments de composition.

Les accords 135 : Pour Do "Do Mi Sol" ou "C E G".
Les accords 1357 : Pour Do "Do Mi Sol Si" ou "C E G B".
D'autres accords tels que 1359 peuvent exister avec une grande part technique dans la nomination, le but est de nommer tous les accords.
C'est un travail qui n'a pas encore été réalisé car les accords ne sont pas tous nommés, mais ces nomminations doivent respecter les standards déjà utilisés ainsi que de suivre une technique visiblement fiable.

Noms d'accords exemplaires :
Tout d'abord le nom d'un accord est composé de plusieurs parties spécifiques, il y a la note tonique qui donne la hauteur tonale, et cette note tonique peut être altérée à sa gauche. Quand un degré de l'accord a une hauteur plus basse que la note tonique, ce degré se situe à gauche de la note tonique, elle est séparée de la tonique par une barre slash "/". Puis sur sa partie droite, on place les degrés significatifs de la tonalité de l'accord. Et, si on doit apporter une extension d'un ordre complémentaire à (1, 3, 5, 7), soit (9, 11, 13), elle sera notée à droite et séparée d'une barre slash également. Comme ainsi :


extension basse | slash | altération de la note tonique | note tonique | tonalité de l'accord | slash | extension haute

Au sujet de la tonalité de l'accord; "-" = -3, "+" = +5, "x" = x5.
Sur l'image lMiniTel.png (fichier-joint). Il y a de la distribution des tierces et des quintes autour d'un jeu complexe des septièmes, ces divers positionnements ne se font pas par hasard.


En effet, les quintes diminuées sont toujours à droite (b5, o5, *5).
Les quintes augmentées sont toujours à gauche (+, x).
Les tierces mineures sont toujours à gauche (-).
Sauf pour les tierces diminuées qui sont à gauche si la septième est majeure (o),
et à droite si la septième est mineure (o).
Les tierces augmentées sont toujours à droite (#3, x3).

Toute cette logique est en rapport avec les jeux des septièmes (maj7, 7, 77, ø7, o7), voir même (oo77).
Si nous donnons la priorité de ce qui est enseigné, nous ne touchons pas à la partie gauche qui a ceci (+ et x) comprenant la quinte (# et ##). La partie gauche a le signe moins (-) qui selon l'enseignement concerne la tierce mineure, ce signe n'est pas modifié non plus. La quinte mineure fait partie de l'enseignement, et elle est notée en partie droite (b5), comme toutes les quintes diminuées (b5, o5 ou bb5). Si la tierce diminuée a été placée à droite des septièmes non majeures, c'est pour éviter la confusion (o7 "septième diminuée" et o77 "diminuée septième de septième"), alors (7o3 "septième mineure et tierce diminuée") est plus clair. Si nous ne trouvons pas à gauche des septièmes (mineures, demi-diminuées, diminuées) une tirece diminuée, c'est à cause de la confusion citée juste avant, mais aussi car les accords de septièmes (demi-diminuées, diminuées) sont déjà constitués d'une tierce mineure.

Aussi, en tentant d'écrire cet forme d'accord 1357, "+maj7^3", on commet une erreur.
Explication :


C_D_EF_G_A_BCCmaj7
C_D____^3^4X5+6BCCxmaj7^3
Quand la tierce est augmentée trois fois (^3) ou (###3), la quarte l'est également. Et, quand la quarte est "altéractivement" altérée trois fois (comme la tierce☺).
La quinte est "altéractivement" en position de double dièse, (x5) ou (##5), ainsi la quinte ne peut pas être qu'augmentée une fois (+5) ou (#5)

  • Nom classique = Cmaj
  • Note tonique altérée à sa gauche = bCmaj (bCmaj = 135)
  • Degré plus grave de l'accord = A/ bCmaj (A/ bCmaj = 6135). Il est possible de remplacer "A/" par 6
  • La tonalité de l'accord = C -7 (C -7 = 1-35-7)
  • Degré plus aigu de l'accord = C7 /11 (C7 /11 = 135-74). Il est possible de remplacer "/11" par 4
  • Accord étendu = Cmaj11 (Cmaj11 = 1357911)
  • Accord suspendu = Csusmaj7 (Csusmaj7 = 1457)
  • Équivalences | C-7b5=Cø7 | C-77 = C+°7 |


Exemples "135", "1356", "1357" :
Cmaj5   Cmaj6 Cmaj7   C5   C6   C7   
CEG                CEGA              CEGB              CEbG         CEGbA       CEGbB       
135                1356               1357               13-5          135-6        135-7       
Cø5      Cø6       Cø7      C°5 C°6 C°7 
CbEbG            CbEbGbA         CbEbGbB         CbEbbG      CbEbGbbA CbEbGbbB 
1-3-5             1-3-5-6            1-3-5-7           1-3°5         1-3-5°6     1-3-5°7     

Ces exemples de nomination des accords ne sont pas tous utilisés, ainsi c'est juste un genre de catalogage d'un point de vue théorique.
Remarque : Le signe "°" m'a posé des problèmes en programmation, alors je l'ai changé en "o" minuscule.

Petit exercice improvisé :
En développant les différentes modalités de l'accord 1357, on obtient une suite d'accords dont les noms changent ; 1357, 3571, 5713, 7135.

1357357157137135
1357                    1356                      1346                1246
Cmaj7                  Cmaj6                    C ?                   C/ D-maj5
CEGB                             CEGA                               CEFA                           CDFA 
1357                              1356                               1346                           -71-35   
Dans l'image du fichier joint, il y a deux accords 1357 qui posent un problème de définition de la tonalité harmonique de |+7x3|-oo77o5|.
Je vous laisse trouver où se trouve le problème, et ainsi vous comprendrez que les erreurs sont facilement détectables avec cette matière musicale !
De nombreux noms d'accords me sont inconnus ☺


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CrimQ Section / Les gammes commatiques
« Dernier message par coadmin le mardi 07 septembre 2021, 11:09:25 am »
Les gammes à micro-intervalles

Dans les cas concernés elles ont douze notes comme la gamme chromatique.
Ce qui change c'est les appellations des signatures apportées aux notes et leurs intervalles (espace entre les notes).
On peut parler de matrice sur laquelle les notes commatiques vont se poser.


  • Comment construire les intervalles ?

Un peu de géométrie est un basique de construction, dessiner une grille ayant de nombreuses cases.
Il faut tenir compte des déplacements des notes afin que tous les éléments de la grille soient efficaces.
Dans ce cas de liberté constructive sachez que cette organisation vous demandera beaucoup d'efforts.

Il y a également la possibilité d'exploiter les développements diatoniques des gammes chromatiques.
Les modes diatoniques des gammes chromatiques produisent automatiquement des matrices.


Les gammes chromatiques fournissent deux types de développement de son cycle diatonique, l'un est fermé car le mode Si a la même tonalité que le mode Do à l'octave. Contrairement, le cycle ouvert démontre que le septième mode (Si) n'a pas la même tonalité que celle de l'octave de Do.

En résolvant les différences on a une gamme chromatique différente

Les pièces jointes montrent un type parmi les deux types :Voir armcom_1_1a.png

Les tonalités diatoniques sous leurs formes numériques (1 -2 2 -3 3 4...), vont être utilisées pour construire la fabrique des gammes commatiques. L'image jointe armcom_1_3a.png  comporte des directives impliquant des inversions des rangées modales, de plus la première colonne de ce 1er relevé chromatique est réservé aux notes des degrés toniques de la gamme chromatique concernée.

Ce qui se termine par une série de modulations commatiques, comme l'image :
armcom_1_6ai.png

Visitez https://www.cabviva.fr/armcom-1

Les notes ont un rapport avec l'octave, et au-delà pour les extensions. Ces extensions sont utilisées afin de réguler les actifs mineurs et augmentés, selon l'exemple d'un algorithme produisant x^^^1 ou ###########1 onze dièses. Qui calcule l'altération avec sept notes sur une octave, ainsi du premier degré à son octave il y a douze intervalles de ½ tons. Ainsi avant qu'elle ne soit elle-même la note s'augmente douze fois, la onzième fois est réservée à la septième majeure.

Si dans un premier temps on obtient deux niveaux de compression, dont chacun réuni un cluster de sept notes pointant à chacune des extrêmités. Ces deux clusters dévoilent les plages altératives réservées aux degrés, ainsi qu'à chaque degré corresponde un espace d'altérations. Cette logique est plus explicite en regardant son image armcom_4_1.png

Nous avons trois notions de formatage algorithmique:

  • Les plagias des degrés
  • Les plagias des extensions
  • Les volumes des altérations
Les plagias des degrés
L'espace inter-octaves des extrêmes.
Les plagias des extensions
Les points d'accords avec le extensions
Les volumes des altérations
Le nombre d'altération pour parvenir à l'octave opposée

https://www.cabviva.fr/compressions-et-extensions


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General Discussion / Besoin d'aide ?
« Dernier message par coadmin le mardi 07 septembre 2021, 10:53:54 am »
Vous ne savez pas par quoi commencer ?
Moi.Oui Tout message publicitaire est supprimé  8)
Si vous voulez poster un message dont le sujet est de la théorie musicale, allez dans la section : Zone publique/Universel public



Il est bon de connaitre le service rendu par la théorie musicale, le plus évident est son utilité pour l'apprentissage instrumental.

La théorie musicale est un répertoire contenant toutes les connaissances, une sorte de patrimoine culturel.

Le forum est francophone, soyez indulgents car est là pour nous aider à l'apprentissage des sujets créatifs, notre but est l'enseignement.

Vous êtes libres de décider quelle sera votre démarche à suivre pour développer le meilleur rendu théorique  :)



Le service d'inscription a changé ses règles :
Maintenant les inscriptions se font aussi en s'inscrivant à https://www.cabviva.fr/nous-contacter
Qui a créé ce forum sur OneNote ? https://1drv.ms/u/s!ApMX3gWtz5_Ft1Mfaak6Pf2ogMFN[/size]
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CrimQ Section / Les armatures
« Dernier message par coadmin le mardi 07 septembre 2021, 10:06:45 am »
Les armatures sont formées par les altérations

Généralement l'armature, ou l'armure, a de une à sept altérations.
Les altérations sont placées sur la portée et se suivent dans un ordre régulier.
Par exemple :

  • La série des quintes #F #C #G #D #A #E #B :
    Produit les gammes majeures suivantes : G D A E B F #C.
    On remarque que la tonalité majeure est obtenue à l'aide de la dernière note en cours.
    Pour une armature #F #C #G #D, la gamme est E majeure (#D = 7ème majeure).
  • La série des quartes bB bE bA bD bG bC bF :
    Produit les gammes majeures suivantes : F bB bE bA bD bG bC.
    On remarque que la tonalité majeure est obtenue avec l'avant dernier élément en cours.
    Pour une armature bB bE bA bD, la gamme est bA majeure (bA = avant dernier élément).

Ci-dessus nous avons vus les armatures en cycles de quintes et de quartes.
Ces deux cycles se complètent quand on inverse la suite de notes altérées.
Il en va de même pour les secondes inverses des septièmes, et les tierces inverses des sixièmes.

Les armatures sont libres de droit d'utilisation, les seules limites interviennent avec les possibilités.
On peut voir que certaines armatures provoquent des enharmonies, ainsi elles créent des gammes avec moins de notes de composition.

Lien vers quelques définitions : https://www.cabviva.fr/armatu-1
Pages: [1] 2